En 2009 paraissait sur ce blog « l’omerta et le monde vétérinaire »,3000 vétérinaires ont été en contact avec cet article, 2995 n’ont surtout pas levé les yeux de leurs chaussures cirées, le courage ne faisant pas partie visiblement des valeurs transmises lors de leur cursus, il est vrai que « l’Elite de la Nation » comme aimait à le proclamer le maréchal Pétain, formatée à un nombrilisme et à une arrogance sans nom adhère à un seul paradigme : l’adhésion aux plus forts du moment…. valeur …. attachée aux relents nauséabonds d’un passé vichyssois.
Quant à Notre Justice, cette dernière engluée dans une problématique colossale de réduction de personnel (pour le bien de la France parait-il…tiens j’ai déjà entendu cela quelque part…) avance, cela est certain mais à pas de tortue, et à ce jour notre « grand docteur blanc » le petit notable de la petite ville voisine du berceau de Jeanne d’Arc, continue sans être trop inquiété son travail de sape, de harcèlement, de destruction, de violences verbales, de violences mentales….sous le regard bienveillant de ses pairs, le cigare aux lèvres, le verre de cognac à la main, car chez ces gens là……….
Pourtant, la « tête blonde » est toujours debout, la « tête blonde » a même ré ouvert le cabinet secondaire malgré les menaces, les violences et les interdictions de celui qui pense que le monde et son ex femme lui appartienne. Et la « tête blonde » consulte et pratique son métier qui chez elle est véritablement un art et en ce lundi 20 septembre 2010, elle réfère en urgence pour une hospitalisation immédiate le chien d’une amie qui s’avère être dans un état grave voir en état de choc, et elle réfère, bien sûr, sur le plateau technique de sa propre clinique où son ex mari et associé à 50% travaille, (le problème de la société n’étant toujours pas juridiquement résolu). Coup de théâtre, l’assistante vétérinaire hospitalise le chien mais le « grand docteur blanc » malgré l’état alarmant du chien refuse de le soigner, arguant le fait que la propriétaire du chien est une amie de son ex femme qui aurait témoigné contre lui.
Et nous sommes devant le plus énorme cas de manquement au code de déontologie. Le « grand docteur blanc » est dans une obligation de soin et pourtant il va tenter de régler ses comptes en utilisant comme bouc émissaire un chien agonisant sur le carrelage de sa salle d’attente, design aux couleurs de l’espoir. Sûr de son petit pouvoir de petit notable mais dénué de tout courage pour faire le sale travail tout seul, il essayera de faire appel aux forces de l’ordre pour sortir manu militari la propriétaire du chien, femme de 60 ans handicapée à 80% et dont le chien est l’auxiliaire de vie…….
Le chien va mourir….le chien va mourir parce qu’un homme qui a pourtant, la main sur le cœur, juré fidélité au serment de Bourgelat, refusera de le soigner pour assouvir ses vils instincts de vengeance, et de perversité.
Une plainte a été déposée devant l’Ordre Vétérinaire Régional (Mr Brossard représentant ordinal du centre), et copie adressée à L’Ordre National (Mr Rondeau, Président de l'Ordre National) alors quelques questions me viennent à l’esprit:
*l’Ordre va-t-il, une nouvelle fois, botter en touche, et couvrir les exactions du « grand docteur blanc » ?
*l’Ordre va-t-il, une nouvelle fois, jouer son joker, tourner la tête, fermer les yeux et continuer à faire comme si…..pour mémoire le « grand docteur blanc » est accusé de viol sur la personne de son ex-épouse, fait qu’il a reconnu, accusé de détournement de fonds dans le cadre de leur société, faits qu’il a reconnu et maintenant accusé de manquement au code déontologie concernant les devoirs fondamentaux….(art R242-48 du Code Rural)
* l’Ordre va-t-il laisser, maintenant, le félon mettre en péril la Vie que nous lui remettons entre les mains…parce qu’à un moment donné cet individu a été adoubé par ses pairs en tant que « médecin des animaux »
Françoise Martin